Emmanuel Junior Dutrévil est un jeune entrepreneur, vidéaste, danseur, mannequin, infographe, photographe et sérigraphe haïtien né le 29 août 1992 au Cap-Haïtien. Du haut de ses trente et une années tout juste atteintes, M. Emmanuel est déjà coiffé de plusieurs chapeaux. En effet, il est le fondateur et PDG de Tram Art entreprise ainsi que de Dans sa folie académie, deux institutions qui exercent un travail énorme et impeccable dans le domaine de l’art et de la culture dans la société haïtienne. M. Dutrévil est également le coordonnateur général d’ ORJEDEP qui est l’organisation des jeunes pour le développement personnel, ainsi que l’ex directeur de marketing de RCH2000. Il a aussi été le directeur culturel du Collège Marie-Anne et du Collège Catherine Flon. Au cours de la plupart des années de sa vie, M Emmanuel s’est toujours donné corps et âme dans l’éducation et le support des jeunes, il s’est toujours voué à donner de nouvelles opportunités aux jeunes et à faciliter leur développement personnel. À la question posée “Pourquoi” la réponse de M Emmanuel a toujours été la suivante “Si je m’évertue autant à aider les jeunes pour la simple et bonne raison que si moi j’avais reçu un tel support dans ma jeunesse, j’aurais déjà accompli bien plus de choses depuis un bien plus jeune âge” . M Emmanuel ne se lasse jamais d’apprendre, il apprend de tout et de tout le monde et sait saisir toutes les opportunités qui se présentent à lui sans pour autant se lancer dans des actions irréfléchies. M Emmanuel déjà si jeune a déjà tant accompli et ne compte pas s’arrêter de si tôt. Il a bien trop d’objectifs et d’ambition ! -Article écrit par Sher-Maureen Jn Pierre
Month: August 2023
Biographie de Mr Emmanuel Emmanuel Junior Dutrévil est un jeune entrepreneur, vidéaste, danseur, mannequin, infographe, photographe et sérigraphe haïtien né le 29 août 1992 au Cap-Haïtien. Du haut de ses trente et une années tout juste atteintes, M. Emmanuel est déjà coiffé de plusieurs chapeaux. En effet, il est le fondateur et PDG de Tram Art entreprise ainsi que de Dans sa folie académie, deux institutions qui exercent un travail énorme et impeccable dans le domaine de l’art et de la culture dans la société haïtienne. M. Dutrévil est également le coordonnateur général d’ ORJEDEP qui est l’organisation des jeunes pour le développement personnel, ainsi que l’ex directeur de marketing de RCH2000. Il a aussi été le directeur culturel du Collège Marie-Anne et du Collège Catherine Flon. Au cours de la plupart des années de sa vie, M Emmanuel s’est toujours donné corps et âme dans l’éducation et le support des jeunes, il s’est toujours voué à donner de nouvelles opportunités aux jeunes et à faciliter leur développement personnel. À la question posée “Pourquoi” la réponse de M Emmanuel a toujours été la suivante “Si je m’évertue autant à aider les jeunes pour la simple et bonne raison que si moi j’avais reçu un tel support dans ma jeunesse, j’aurais déjà accompli bien plus de choses depuis un bien plus jeune âge” . M Emmanuel ne se lasse jamais d’apprendre, il apprend de tout et de tout le monde et sait saisir toutes les opportunités qui se présentent à lui sans pour autant se lancer dans des actions irréfléchies. M Emmanuel déjà si jeune a déjà tant accompli et ne compte pas s’arrêter de si tôt. Il a bien trop d’objectifs et d’ambition ! -Article écrit par Sher-Maureen Jn Pierre
nternationale. En accompagnant ces jeunes dans leur développement artistique, Tram-Art, en passant par DFA, contribue à façonner une société où l’art occupe une place centrale et indispensable
( Dans sa Folie Académie) : Une pépinière artistique en plein essor en Haïti Depuis trois ans, Tram-Art, une entreprise de service œuvrant dans l’art et la culture à travers les écoles, s’impose comme une véritable pépinière d’artistes en herbe à travers son centre culturel nommé « DFA », Dans sa Folie Académie. Fondée par Emmanuel, un passionné d’art, la structure propose aux jeunes une expérience unique pour s’exprimer, créer et s’épanouir. À travers des interviews exclusives, nous plongeons dans l’univers de DFA et découvrons comment cette initiative modeste est parvenue à s’imposer dans le monde artistique haïtien. Au cœur de cette belle aventure, Esté, une jeune artiste, nous livre son témoignage enthousiaste : “J’ai choisi de faire des dessins, je m’amuse, et je danse aussi, je m’exprime à travers ça. C’est un moyen d’expression pour moi, j’ai appris à faire des dessins, des dégradations, tout ça. DFA est comme une famille, ici, il n’y a pas de conflits et pas d’ondes négatives. C’est bénéfique pour moi, et je me sens satisfaite d’être ici et partager.” Maurine , une jeune participante âgée de 16 ans, se réjouit également de son expérience au sein de Tram-Art : “Mon dessin montre réellement que l’on récolte ce qu’on a semé. Je me sens satisfaite, car je n’avais jamais pensé que je pouvais dessiner à ce niveau. Je me sens à l’aise ici, c’est comme une famille. Je suis là depuis le 10 juillet, et ça me fait un bien fou. DFA m’aide à m’exprimer et à développer mon talent.” Au cœur de cette initiative, Kerson Rony, plasticien et étudiant à l’ENARTS, joue un rôle crucial : “C’est un plaisir pour moi de partager mon savoir en dessin avec les jeunes. Pour moi, ce travail est d’une importance capitale pour aider les jeunes à mieux cerner l’importance de l’art, car une société ne peut vivre sans art. L’art est indispensable, et les jeunes à DFA ont beaucoup de talent. Je suis là pour les mettre à un point où ils pourront continuer seuls.” Paul Kenny Louis, lui aussi adepte de DFA, révèle son amour pour le dessin depuis son enfance : “Ça fait déjà trois ans que je me suis initié dans le monde artistique, et le dessin a été mon coup de cœur dès mon enfance. DFA m’a permis de développer ma passion et mon talent.” Emmanuel, le PDG de Tram-Art et directeur de DFA, témoigne de l’engagement de l’association envers les jeunes : “Nous avons lancé notre première édition de Camp d’été avec un programme chargé, incluant la danse, le dessin, l’event planer et la décoration. Nous ne voulons pas leur imposer des activités, mais plutôt les aider à développer leurs atouts artistiques. Tous ceux et celles qui veulent assister à nos activités sont les bienvenus. Nous présenterons bientôt nos travaux effectués durant le mois écoulé. Malgré nos maigres moyens, nous sommes déterminés à mettre en valeur les travaux de géant effectués par DFA et à promouvoir l’art en Haïti.” En dépit des obstacles, Tram-Art continue de prospérer et de transformer la vie des jeunes artistes haïtiens à travers DFA. Grâce à des formateurs engagés et une ambiance bienveillante, cette pépinière artistique promet de faire briller les talents émergents d’Haïti sur la scène internationale. En accompagnant ces jeunes dans leur développement artistique, Tram-Art, en passant par DFA, contribue à façonner une société où l’art occupe une place centrale et indispensable @Jean Wesley Pierre|Journalists@lawouzeinfos.
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Le mardi 25 juillet, les forces de police nationale haïtienne (PNH) ont appréhendé Wilkenson Kernizan connu sous le nom de Bourik de Latalay et ses coaccusés sous prétexte qu’ils se dirigeaient vers le quartier de Village de Dieu, bastion du puissant chef de gang connu sous le nom d’Izo 5 Secondes, pour tourner une vidéo. Cependant, aucun élément de preuve n’a été présenté pour étayer ces allégations, laissant planer un doute quant à la légalité de leur arrestation. Des sources internes ont révélé que les détenus ont été soumis à des traitements inhumains en détention, notamment des actes de brutalité physique. Wilkenson Kernizan plus connu sous le nom de Bourik de Latalay aurait été violemment agressé pendant sa période d’emprisonnement, causant des traumatismes physiques et émotionnels profonds. Des témoignages font état de conditions déplorables dans lesquelles ils ont été détenus, mettant en lumière des violations flagrantes de leurs droits fondamentaux. Pire encore, malgré l’absence de charges formelles retenues contre eux, les détenus ont été maintenus en captivité pendant près de deux semaines avant que Wilkenson Kernizan ne soit finalement libéré le mercredi 9 août. Les défenseurs des droits de l’homme et les citoyens haïtiens condamnent unanimement cette arrestation arbitraire et la détention prolongée des accusés sans justification légale valable. Cette situation met en lumière les profondes lacunes dans le système judiciaire haïtien et soulève des questions cruciales concernant la protection des droits de l’homme et la présomption d’innocence. L’arrestation illégale et les mauvais traitements infligés à l’artiste Wilkenson Kernizan et à ses compagnons de détention appellent à une action immédiate de la part des autorités pour rétablir l’intégrité et la crédibilité du système judiciaire haïtien. L’indignation du public et la colère grandissante démontrent l’importance d’une enquête approfondie et transparente afin que les responsables soient tenus pour compte et que la justice prévale pour tous les citoyens haïtiens, indépendamment de leur statut ou de leur renommée. @Jean Wesley Pierre @Lawouzeinfo@Bourik the latalay
Un échec pour son parcours, Nicolas Delépine quitte son poste de sélectionneur Après des semaines de pression intense et de déception persistante, Nicolas Delépine, le visage emblématique à la barre de l’équipe de football haïtienne, a finalement cédé. La nouvelle qui était sur toutes les lèvres s’est enfin concrétisée : le sélectionneur ne prolongera pas son contrat avec la Fédération Haïtienne de Football (FHF), répondant ainsi à la demande générale de sa démission. La défaite retentissante de l’équipe lors de la 9ème édition de la Coupe du Monde Féminine 2023 en Australie a marqué un tournant dévastateur dans le parcours de Haïti dans le domaine du football. Les critiques pleuvaient, les fans étaient déçus, et l’appel à un changement en haut lieu devenait de plus en plus assourdissant. “Le moment est venu où notre mission arrive à son terme”, a déclaré Nicolas Delépine d’un ton déterminé lors d’une entrevue avec un journaliste de l’Agence France-Presse. Cette démission, bien que forcée par l’opinion publique, ouvre la porte à un nouveau chapitre pour l’équipe nationale. Elle représente le début d’un processus de reconstruction et de revitalisation qui est attendu depuis longtemps. Il est indéniable que l’annonce de la démission de Nicolas Delépine marque une victoire pour ceux qui croyaient en la nécessité d’un changement au sommet. Le futur du football haïtien est désormais ouvert à de nouvelles perspectives, à de nouveaux dirigeants et à une nouvelle vision. La route à parcourir sera exigeante, mais c’est un pas vers la renaissance tant espérée de l’équipe nationale. En conclusion, le départ de Nicolas Delépine est un rappel puissant du pouvoir de la voix collective et de la pression populaire. Alors que l’équipe de football haïtienne se prépare à tourner la page, les regards se tournent vers l’avenir avec espoir et une anticipation palpable des opportunités à venir. @Kenold lucartk91@gmail.com @Lawouzeinfos
Depuis des décennies, l’inégalité sous toutes ses formes a été un frein au développement socio-économique de notre pays. Cependant, le changement de perspective et de reconnaître que la lutte contre ces disparités peut être un moteur puissant pour le développement s’annonce plus que jamais indispensable. En adoptant des points de vue poussés, nous mettrons en lumière comment l’éradication de l’inégalité peut stimuler la croissance économique, améliorer l’éducation, favoriser l’innovation et renforcer la cohésion sociale. La réduction des inégalités économiques est un moyen essentiel pour promouvoir la prospérité du pays. En favorisant une répartition plus équitable des richesses, nous permettrons à une plus grande partie de la population d’accéder à des ressources et opportunités économiques. Une classe moyenne plus robuste augmentera la consommation, stimulera l’investissement et dynamisera le marché intérieur, conduisant à une croissance économique durable. L’inégalité d’accès à l’éducation est un obstacle majeur au développement. En investissant dans l’éducation pour tous, nous développerons un capital humain qualifié et compétent, capable de contribuer activement à l’innovation et à la productivité de notre économie. L’éducation émancipe les individus, ouvre des horizons et permet à chacun de réaliser son potentiel, quel que soit son origine sociale. Par ailleurs, la lutte contre l’inégalité de genre est également cruciale pour le développement. En favorisant l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, nous libérerons un immense réservoir de talents et de compétences encore sous-utilisés. Une société égalitaire renforcera la cohésion sociale et favorisera la stabilité, créant un environnement propice à l’innovation et à la croissance économique. La réduction des inégalités territoriales est une condition sine qua non pour assurer un développement harmonieux et équilibré de notre pays. En investissant dans les infrastructures et les services publics dans les régions les plus défavorisées, nous attirerons les investissements privés, créant ainsi des emplois et stimulant l’activité économique dans ces zones. La lutte contre les inégalités sociales et culturelles renforcera la cohésion sociale et la stabilité du pays. En favorisant une société plus inclusive, nous encouragerons l’émergence d’une population éduquée, éclairée et engagée. Cette diversité d’idées et de perspectives stimulera l’innovation et la créativité, essentielles pour rester compétitifs dans un monde en constante évolution. En conclusion, la lutte contre l’inégalité sous toutes ses formes est un enjeu crucial pour le développement de notre pays. En adoptant des points de vue poussés, nous avons pu mettre en évidence comment l’éradication de l’inégalité peut être un puissant moteur de croissance économique, d’amélioration de l’éducation, de promotion de l’innovation et de renforcement de la cohésion sociale. Il est temps de faire de cette lutte une priorité nationale afin de construire un avenir plus prospère, plus équitable et plus harmonieux pour tous les citoyens. Texte: Wesley Jean -pierre @Lawouzeinfos
Depuis des décennies, l’inégalité sous toutes ses formes a été un frein au développement socio-économique de notre pays. Cependant, le changement de perspective et de reconnaître que la lutte contre ces disparités peut être un moteur puissant pour le développement s’annonce plus que jamais indispensable. En adoptant des points de vue poussés, nous mettrons en lumière comment l’éradication de l’inégalité peut stimuler la croissance économique, améliorer l’éducation, favoriser l’innovation et renforcer la cohésion sociale. La réduction des inégalités économiques est un moyen essentiel pour promouvoir la prospérité du pays. En favorisant une répartition plus équitable des richesses, nous permettrons à une plus grande partie de la population d’accéder à des ressources et opportunités économiques. Une classe moyenne plus robuste augmentera la consommation, stimulera l’investissement et dynamisera le marché intérieur, conduisant à une croissance économique durable. L’inégalité d’accès à l’éducation est un obstacle majeur au développement. En investissant dans l’éducation pour tous, nous développerons un capital humain qualifié et compétent, capable de contribuer activement à l’innovation et à la productivité de notre économie. L’éducation émancipe les individus, ouvre des horizons et permet à chacun de réaliser son potentiel, quel que soit son origine sociale. Par ailleurs, la lutte contre l’inégalité de genre est également cruciale pour le développement. En favorisant l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, nous libérerons un immense réservoir de talents et de compétences encore sous-utilisés. Une société égalitaire renforcera la cohésion sociale et favorisera la stabilité, créant un environnement propice à l’innovation et à la croissance économique. La réduction des inégalités territoriales est une condition sine qua non pour assurer un développement harmonieux et équilibré de notre pays. En investissant dans les infrastructures et les services publics dans les régions les plus défavorisées, nous attirerons les investissements privés, créant ainsi des emplois et stimulant l’activité économique dans ces zones. La lutte contre les inégalités sociales et culturelles renforcera la cohésion sociale et la stabilité du pays. En favorisant une société plus inclusive, nous encouragerons l’émergence d’une population éduquée, éclairée et engagée. Cette diversité d’idées et de perspectives stimulera l’innovation et la créativité, essentielles pour rester compétitifs dans un monde en constante évolution. En conclusion, la lutte contre l’inégalité sous toutes ses formes est un enjeu crucial pour le développement de notre pays. En adoptant des points de vue poussés, nous avons pu mettre en évidence comment l’éradication de l’inégalité peut être un puissant moteur de croissance économique, d’amélioration de l’éducation, de promotion de l’innovation et de renforcement de la cohésion sociale. Il est temps de faire de cette lutte une priorité nationale afin de construire un avenir plus prospère, plus équitable et plus harmonieux pour tous les citoyens. Texte: Wesley Jean -pierre @Lawouzeinfos
Une publication suscite des inquiétudes quant à l’hommage rendu à la mémoire de la talentueuse journaliste Liliane Pierre Paul Récente publication faisant état de la mort de la journaliste Liliane Pierre Paul soulève des préoccupations quant à son impact sur la mémoire de cette talentueuse professionnelle des médias. En citant des allégations non vérifiées de proches de la défunte, la diffusion de ces informations semble manquer de respect envers l’héritage journalistique de Liliane. En tant que média, la responsabilité de rendre hommage à Liliane Pierre Paul exige un traitement rigoureux et respectueux de l’information. Citer des déclarations non vérifiées ni approfondissement peut nuire à la réputation d’une personnalité aussi respectée que Liliane et ternir son héritage. La mémoire de Liliane, qui a consacré sa vie à informer et à éduquer la population haïtienne, mérite d’être honorée avec sensibilité et dignité. Publier des déclarations non confirmées de proches sans prendre en compte la nécessité d’une enquête approfondie peut sembler irresponsable et causer davantage de douleur à sa famille et à ses admirateurs. La profession journalistique, à laquelle Liliane a tant contribué, repose sur des normes éthiques strictes visant à protéger l’intégrité des informations diffusées. La recherche de la vérité doit être menée avec prudence et professionnalisme, en évitant de porter atteinte à la réputation d’une personne avant que les faits soient clairement établis. En ces moments difficiles, la communauté journalistique devrait se rassembler pour honorer la mémoire de Liliane en s’engageant dans un journalisme responsable et rigoureux. Cela implique de donner la priorité à l’établissement des faits avant de partager des informations avec le public, particulièrement lorsqu’il s’agit de questions aussi délicates qu’un décès tragique. KENOLD LUCART|JOURNALISTS|@LAWOUZEINFOS