Selon l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), plus de 60 000 personnes ont été forcées de quitter leurs demeures au cours du mois de mars.
En effet, ces personnes ont été contraintes de quitter leurs domiciles à cause des actes de violences perpétrés par les gangs armés dans différentes régions du pays, notamment à Kenscoff, Mirebalais et la zone métropolitaine de Port-au-Prince.
Il est à signaler que les actes d’insécurité en Haïti ne cessent de semer la panique dans le camp de la population civile, principale victime des atrocités des gangs armés.
Lawouze Info
0 commentaire